Où l’on complète un tableau en avançant pas à pas et tout doucement…

Les voyages comme chacun sait sont toujours pleins d’imprévus et de rebondissements, il ne faut surtout pas compter être à l’heure, surtout avec mes TARDIF que j’aime beaucoup… Tiens par exemple, Etiennette TARDIF, encore une ancêtre sans date …

Femme de François QUENION dont je cherche les ascendants depuis un certain temps, sans succès, Etiennette TARDIF est également très mystérieuse… Sans doute est-elle née aux alentours de 1630 et s’est-elle mariée vers 1650. J’avais parlé de François QUENION lors de mon premier Challenge AZ en 2014. C’était Q comme QUENION. Et franchement, je m’étonne moi-même ! Quel article ! J’étais vraiment sérieuse à mes débuts !

Cet article va m’être très utile. J’y répertoriai en effet les actes des QUENIONs que je possédais.

Voici ce tableau :

Premier constat : je n’ai quasiment pas avancé d’un iota depuis quatre ans sur cette branche.

Je me suis donc penchée à nouveau sur les actes répertoriés ci-dessus afin d’y relever toutes les informations possibles. Voyons tout d’abord les actes de baptême des enfants du couple QUENION/TARDIF.

• • Le 7 septembre 1655, François QUENION, premier du nom, est baptisé au Plessis-Grammoire ; son parrain est Jacques RENARD et sa marraine Symphorienne TARDIF.

• • Le 10 décembre 1657, François QUENION, deuxième du nom,  est baptisé au Plessis-Grammoire ; son parrain est Jean TARDIF, sa marraine Perrine LAVENIERE. L’enfant est dit être d’Andard.

• Le 23 février 1661 est baptisé Michel QUENION à Andard, son parrain est Michel QUENION, sa marraine Marie RENARD.

Ce Michel QUENION pourrait être une piste. Je découvre le mariage d’un Michel QUENION qui a eu lieu le 28 octobre 1635 à Sarrigné. Son épouse est Françoise PELLETIER. Leur premier enfant est baptisé à Sarrigné, mais le couple demeure à La Dubelière à Corné, paroisse où est inhumé François QUENION père en 1668.

Michel QUENION est fils de Jean QUENION et de Jeanne BODIN. Une relecture des registres de Sarrigné à la recherche des QUENIONS s’impose.  Je suis à peu près certaine qu’un lien existe entre ce Michel et mon François QUENION, reste à trouver lequel. Malheureusement, il faudra attendre… la fin du Challenge AZ !

En revanche j’ai retrouvé quelques actes de baptêmes des enfants de Jacques QUENION qui avait épousé en 1687 Jeanne ROHARD, je peux ainsi compléter le tableau.

En rouge, ce que j’ai trouvé. C’est toujours ça ! Quant à Étiennette TARDIF, selon ce tableau, elle serait décédée vers 1687, mais je pense qu’elle est décédée bien avant les mariages de ses fils, peut-être vers 1670…

… A suivre !