Poursuivons la vérification de mon arbre…
Michel ONILLON – sosa 2504 – Génération 12 – Époux de Perrine BRUNET et père de Michel ONILLON, né vers 1640.
Avant de commencer mes recherches, je jette un coup d’œil à Google Maps pour situer Coron : si certaines paroisses me sont familières, d’autres me le sont moins, et Coron en fait partie. Bon, visiblement, nous sommes toujours dans les Mauges !
Michel ONILLON fils s’est marié le 23 février 1664 à Coron. Voyons voir ce que nous apprend son acte de mariage.

Le mesme jour que dessus furent aussy espouses par moys curé Michel fils de deffunct Michel ONILLON et de Perrine BINET de la paroisse de Cossay par permission dudit curé dudit lieu, avec Marie fille de Mathieu RABIN et Louise CRESPELIERE de cette paroisse en presence de Messires Nicolas GASCHET, Jean FEREAU, Gabriel BERTHELOT prestres.
Michel ONILLON père est donc déjà décédé, sa femme semble plutôt s’appeler « BINET » que « BRUNET » – Il faudrait une autre occurrence pour s’en assurer -, et tous deux semblent être originaires de la paroisse de Cossé. Néanmoins une chose est déjà certaine : ces deux-là sont bien mes ancêtres et ne disparaîtront pas de mon arbre !
Après une rapide recherche à Cossé, je dois me rendre à l’évidence, Michel ONILLON n’est pas cité, pas plus que sa femme, dans les quelques rares pages antérieures à l’année 1664 conservées dans les registres pour cette paroisse…
Peut-être – comme cela si souvent a été le cas – en saurons nous davantage en nous tournant vers sa descendance. Mais… hélas, là encore c’est un fiasco total ! Michel ONILLON semble avoir peu de famille à Coron, et les parrains et marraines de ses enfants (au nombre de douze), qu’il s’agisse de sa première ou deuxième femme semblent presque exclusivement des parents de ces dernières, aussi n’apprenons-nous rien sur des éventuels oncles et tantes, susceptibles de nous donner des informations par des chemins détournés, sur la branche ONILLON…
Je m’aperçois en finissant cette recherche que j’ai déjà publié un article intitulé « O comme ONILLON » lors du Challenge AZ de 2016. Il s’agit d’un autre ONILLON sur une autre branche… Vous pouvez lire ce article ici.
[Flash de dernière minute !
Curieusement, on rencontre à Cossé un autre Michel ONILLON, qui est d’ailleurs aussi mon ancêtre, et dont l’épouse est Perrine MARTINEAU ; tout cela est étrange, troublant et à creuser davantage… Les Michel ONILLON se multiplient dangereusement… Le titre de cet article aurait pu donc être : M comme Michel ONILLON (~1610-~1660), père de Michel ONILLON (~1640-1700), laboureur du Plessis à Coron (49), qui n’a rien à voir avec Michel ONILLON (~1625-1674), laboureur à Cossé d’Anjou… ]


Ô, ô, ô… Osons… Orons-nous la suite sur tous ces Michel Onillon ? Coron est tout proche de La Tourlandry où nous retrouvons beaucoup de Onillon. A suivre
Derrière nos Oiseaux (cette fois, pas besoin de leur chercher un nom), l’Ours et l’Ornementation… Ô, j’allais oublier le huit Octo… de pique…
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La suite dès que possible… J’ai tellement de choses à faire… Merci ma cousine pour tous tes commentaires Ô si merveilleux !
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Connaissez-vous l’histoire de « la mère Onillon » qui en fait était Jeanne Halbert veuve Onillon, originaire du château de la Grue à Gonnord ? Dans ma maison de retraite, je connais des Onillon qui en descendent. M. Lambert de la Douasnerie en a fait le tour très intéressant, même si les photos ne montrent que des ruines.
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