C comme COQUERY

Mathurine COQUERY (1654-1682)

  1. 100 mots pour une vie
  2. Frise de vie

100 mots pour une vie

Mathurine COQUERY naquit le 11 décembre 1654 à Mazé. Fille de Pierre COQUERY et de Perrine BODIN, elle était leur cinquième enfant. Sans doute perdit-elle sa mère très jeune. Celle-ci n’était déjà plus de ce monde lors de son mariage avec Pierre HUET en 1673. En revanche son père, qui mourut en janvier 1683, eut la douleur d’enterrer sa fille qui s’éteignit à l’automne de l’an 1682, âgée de 27 ans. Auparavant Mathurine eut quatre enfants. Deux seulement survécurent : une fille, nommée également Mathurine, et un garçon, Olivier, qui devint bêcheur et qui vécut aussi à Mazé.

Frise de vie

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5 réflexions sur “C comme COQUERY

  1. Il s’agit tout simplement d’une variante du métier de « laboureur ». On peut différencier plusieurs sens, qui varient selon les régions.

    En Anjou, je rencontre « métayer, closier, laboureur et journalier », du plus riche au plus pauvre. « Bêcheur  » est une variante, dont le sens reste à déterminer, mais je pencherai pour une variante de laboureur ou de journalier, soit parmi les catégories des plus pauvres des exploitants agricoles, ceux qui n’ont que très peu ou pas du tout de terres à exploiter. ( Sachant qu’avant 1789, en Anjou, aucun agriculteur n’est propriétaire de son exploitation.)

    Je rencontre aussi parfois, « bordier », variante de « closier ». C’est généralement un laboureur qui possède des boeufs et peut cultiver environ 10 hectares (surface cultivable avec 2 boeufs).

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