Louis Fidèle COQUEREAU (1758-1845)

Génération 8 – Sosa 204

Louis Fidèle COQUEREAU naquit à Ecouflant, tout comme ses trois frères. Marié à Villevêque avec Jeanne BARDOUL, il y fut cultivateur avant de continuer sa vie à Saint-Sylvain-d’Anjou où il mourut et fut inhumé à l’âge fort avancé de 87 ans.


Baptême le 19 mars 1758 à Ecouflant (49)

Acte de baptême de Pierre Fidèle COQUEREAU, 19 mars 1758.

Le dix neufieme jour de mars mil sept cent cinquante huit a été baptisé par nous vicaire soussigné Louis Fidelle né de ce jour fils de Pierre COCQUEREAU laboureur et de Renée GILLET son épouse ont été parain Jean AUBRY oncle de l’enfant et mareine Perrinne GILLET fille tante de l’enfant tous de cette paroisse lesquels ont declaré ne sçavoir signer.


Frères et soeurs

Louis Fidèle est le deuxième enfant de Pierre COQUEREAU et Renée GILET. Il appartient à une fratrie de quatre garçons, mais seul l’ainé et lui-même atteindront l’âge adulte.

1-Pierre Fidèle COQUEREAU (1755-1843)

2-Louis-Fidèle COQUEREAU (1758-1845)

3-Alexandre Joseph COQUEREAU (1759-1763) – SP

4-René Jacques Philippe COQUEREAU (1761-1761) – SP


Mariage avec Jeanne BARDOUL, le 9 novembre 1784, à Villevêque

Villevêque – BMS – 1778-1792, vue 107-108/226 – (AD49)

Le neufieme jour de novembre mil sept cent quatre vingt quatre après la publication des bans faite canoniquement tant dans cette église que dans celle de St Silvin, sans opposition ni empeschement venu à notre connoissance fors celui dont il va être cy dessous mention comme il apert par le certificat du sieur curé de St Silvin en date du huit du meme mois et de la meme année signé LOSNEAU curé, vu aussi les dispenses de l’empeschement de parenté du troisieme au quatrieme degré accordées tant par monseigneur l’evesque d’Angers que par Monsieur le trésorier de l’église d’Angers, toutes deux en date du six du meme mois et de la meme année signée l’une VILLENEUVE de Vic. Gén. et l’autre l’abbé Le Trele trésorier et aussi contresignée par leurs secretaires l’un CHIVAILLE et l’autre TOULET et aussi toutes deux insinuées le meme jour, nous curé soussigné avons donné la benediction nuptiale à Louis Fidel COQUEREAU, fils majeur de Pierre COQUEREAU et de Renée GILET ses pere et mere originaire de la paroisse d’Ecouflant et domiciliés de celle de St Silvin d’une part, et à Jeanne BARDOUL, veuve de Julien BOTEREAU, fille majeur de defunt Urbain BARDOUL et de Marguerite BARDOUL ses pere et mere originaire de Pellouailles et domiciliée de cette paroisse d’autre part, ont été themoins du costé de l’époux son pere et sa mere cy dessus denommés, Pierre COCQUEREAU son frère, du costé de l’epouse sa mère cy dessus denommée, Etienne BARDOUL son beau frère, Urban BARDOUL son frère et plusieurs autres parens amis qui nous ont certifié bien connoistre les susdits époux leur age domicile et liberté et qui ont déclaré ne savoir signer fors les soussignés. Louis Coquereau – Jeanne Bardoul – René Yvon – E Bardou – Mathurin Chenau – Perrine Hamon – Botreau – Gauterau curé.

Ses enfants

1-Renée COQUEREAU (1786) x 1813 Pierre HODÉE.

2-Marie COQUEREAU (1788-1788) – SP.

3-Louis Jean COQUEREAU (1789-1846) x 1813 Jeanne TARDIF.

4-Perrine COQUEREAU (1791-1828-) Religieuse, dite Soeur Agathe.

5-Jacquine Marguerite COQUEREAU (1793)

6- Anne COQUEREAU (1795)

7-Françoise COQUEREAU (1797)

8-François COQUEREAU (1799)


Mort le 1er janvier 1845, Saint-Sylvain-d’Anjou.

L’an mil huit cent quarante cinq, le premier janvier à cinq heures du soir par devant nous Armand LELIEVRE adjoint faisant les fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Saint Silvain, canton nord-est, arrondissement d’Angers, département de Maine et Loire, sont comparus Pierre HODÉ, cultivateur, gendre du défunt ci après et François LAMOUREUX, petit fils, cultivateur, âgé de trente ans demeurant au village de Guichard en cette commune, lesquels nous ont déclaré que Louis COQUEREAU cultivateur, âgé de quatre vingt sept ans, veuf de Jeanne BARDOUL, né commune d’Ecouflant, fils des défunts Pierre COQUEREAU et Perrine GILLET son épouse, est décédé de ce jour à trois heures du soir dans la maison de René MARCILLE, au lieu des Patisseaux en cette commune, et ont les declarants déclaré ne savoir signer le présent acte après qu’il leur en a eté fait lecture à l’exception du second témoin qui a signé avec nous.

Sa femme, Jeanne BARDOUL, était morte huit ans auparavant, en 1837.


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