- Mes ancêtres originaires de Sarrigné
- Transcriptions BMS
- Petites histoires insolites à Sarrigné
- Sarrigné par Célestin Port, Dictionnaire Historique du Maine-et-Loire, 1878.
- Quelques lieux-dits
Mes ancêtres originaires de Sarrigné
Familles (Liens vers fichiers ou Geneanet)
BERGETTE – BOISARD – CHARDON – DABURON – HOUDOUIN – LEBRETON – LEDUC – LETESSIER – MARCHAND – MENOU – TOUZÉ
Transcriptions BMS
A faire
Baptêmes 1621 – 1642
Sépultures 1628-1641
Mariages 1628-1646
Petites histoires insolites à Sarrigné
Les derniers sacrements de Jeanne TROUILLARD…
Sarrigné par Célestin Port, Dictionnaire Historique du Maine-et-Loire, 1878.
Sarrigné, canton N.E. et arrond. d’Angers (15 kil.) – Sarrigneium 1200 circa (H Savigny, ch. or. 4). 1264 (Chaloché, t. II, p. 108). – Capella de Sarrigneio 1320 n. s. (G 354, f.12). – Entre Bauné (4 kil.) au Nord-Est, Andard (4 kil.) au Nord-Ouest, à l’Ouest et au Sud, Corné (7 kil.) au Sud-Est et au Sud.
Le chemin d’intérêt commun de Fontaine-Milon à Angers traverse la partie centrale et le bourg de l’Est à l’Ouest (2 kil.).
Y naît le petit ruisseau de la Lande-Poyet.
En dépendent les hameaux de la Perchaudière (5 mais., 16 hab.), de la Maupassière (3 mais., 11 hab.), de la Tuffière (7 mais., 18 hab.), du Bois-Jarry (6 mais., 11 hab.), de la Varenne (4 mais., 141 hab.), de la Paillette (3 mais., 14 hab.) et 17 fermes ou écarts.
Superficie : 297 hectares dont 20 hectares en vignes, 12 hectares en bois.
Population : 104 feux en 1720. – 63 feux, 280 hab. en 1789-1793. – 330 hab. en 1831. – 352 hab en 1841. – 330 hab. en 1851. – 300 hab. en 1861. – 293 hab. en 1866. – 301 hab. en 1872. – 292 hab. en 1876. – dont 133 hab. au bourg (42 mais. 43 mén.). – en décroissance lente mais continue depuis 30 ans.
Perception de Pellouailles. – Bureau de Poste de Corné.
Mairie avec Ecole laïque de garçons. – Ecole de filles (Soeurs de Ste-marie).
L’Eglise, sous le vocable de Notre-Dame (succursale, 30 septembre 1807), conserve quelques colonnes avec chapiteaux romans du XIIe s. qui portaient la voûte de pierre à moitié ruinée. La nef et le clocher, moins la flèche, ont été reconstruits (arch. Beignet) en 1874 dans le style du choeur, à fond plat carré, qui rappelle celui de St-Serge d’Angers.
Le presbytère, acquis nationalement par l’ancien curé Beaufils, a été revendu par lui à la commune le 11 janvier 1823.
Nul vestige antique. L’église n’était jusqu’au XIVe s. qu’une simple chapelle, fondée de 4 messes par semaine et à la présentation alternative de l’abbé de la Boissière et des curés d’Andard et de Bauné. A l’entour vivaient 120 étagers, forcés, pour les offices religieux et pour les baptêmes, mariages ou sépultures, de se rendre aux églises de Bauné ou d’Andard. A la demande des présentateurs et sous la réserve de leurs droits respectifs, l’évêque Hugues Odart érigea la chapelle en église paroissiale par ordonnance du 19 février 1321 n.s. – Les registres remontent à 1582.
Curés : Pierre Fradin, inhumé le 12 décembre 1544 dans l’église des Augustins d’Angers. Bruneau de Tartifume donne son épitaphe. – Guillaume Fradin, 1572. – René Chasteau, 1627. – Jean Esperon, 1629. – Jean Collebault, 1630. – Toussaint Dreux, 1667. – René Bouerre ou Bohaire, V. ce nom, t. I, p. 344, 1685, qui fut guéri de paralysie par l’intervention de N.-D. de la Réale, V. Ci-dessus, p. 228. – Jean Desmazières, 1692, ♱ le 14 mai 1709. – André Marchand, ♱ le 12 juillet 1730, âgé de 52 ans. – Urbain Delamotte, installé le 7 août 1730. – Alex. François Beaufils, 1777, qui résigne en décembre 1790. – Jacques-Etienne-François Peteul du Boulay, installé le 28 décembre 1790, qui abdique toute fonction ecclésiastique le 21 ventôse an II.
Le fief formait une seigneurie primitivement importante et qui prétendait titre de châtellenie, quoique relevant d’une simple châtellenie, Daon. Il était réuni au XVIIIe s. au marquisat de Laubrière. Le manoir, avec maison forte et pont-levis, joignait l’église et le chemin de Corné. Il était alors et depuis longtemps détruit, mais les douves et les fossés en restiaent encore apparents. La mesure seigneuriale comptait le double de celle des Ponts-de-Cé. – En est seigneur René de Montortier, échevin d’Angers, 1549, René de la Roussière 1553, Françoise de Montallais, veuve de Jean de Bueil, 1571, Anne de Bueil, femme de Jean d’Acigné 1587, 1618, veuve en 1621, Honorat d’Acigné 1626, René de la Roussière 1641, le comte de Grandbois 1700n Charles-François Lefebvre de Laubrière 1771.
La paroisse dépendait de l’Archidiaconé d’Angers, de l’Archiprêtré d’Andard, de l’Election, des Aides, du Grenier à sel et du district d’Angers.
Maires : Danjou, 1792. – Pierre Busson, 10 messidor an VIII. – Ch.(Alex. Bénard de Courtigis, 15 avril 1820. – Pierre Hamelin, 19 décembre 1822. – Caillault, 13 novembre 1831. – René Mahon, septembre 1843. – Pierre Guépin, 14 février 1856, installé le 19. – Collas, 1868, en fonctions, 1877.
Quelques lieux-dits
Les Dublières, village, commune de Sarrigné et de Corné. – Le village de la Dubelière 1635.
L’Etang, ferme, commune de Sarrigné. – L’Estang.
La Maupassière, maison, commune de Sarrigné. – La Maupasière (Cassini). – La Mongasière. – La Monpassière.
Noyau, hameau, Bauné. A Noyau, 1434. – La Fontaine de Noyau, 1489. – Les Caves à Noyau, 1504. – Le lieu appelé Bataille à Noyau, 1553. – En est dame Elisabeth de la Mabilière, épouse de Charles-François Lefebvre de Laubrière, 1787.
La Perchaudière, hameau, commune de Sarrigné. – Simple closerie au XVIIIe s. vendue nationalement sur la fabrique le 5 novembre 1793.
Les Plantes, Hameau, commune de Sarrigné.
La Tuffière, Hameau, commune de Sarrigné.


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