B comme Baracé

  1. Situation
  2. Mes ancêtres originaires de Baracé
  3. Histoires insolites à Baracé
  4. Baracé par Célestin Port
  5. Transcriptions BMS
  6. Quelques lieux-dits

Situation

Baracé est une commune qui se situe dans le département de Maine-et-Loire (49), dans le Baugeois, au nord-est de Montreuil-sur-Loir et au sud-ouest de Durtal.

Mes ancêtres originaires de Baracé

Pour mes ancêtres, Baracé est le théâtre de 87 événements, dont 16 concernant mes ancêtres directs.

Baptêmes

Pierre HAMELIN fut baptisé à Baracé en des temps très anciens, c’était le 12 avril 1595. Voici cet acte, l’un des plus anciens de ma génalogie.

AD49 – Baracé – BMS – 1568-1672, vue 115/369.

Le 12 jour d’apvril l’an susdit a esté [baptisé] Pierre HAMELIN fils de Denis HAMELIN et de Françoise sa fame, parrains Pierre ALLOUARD et Pierre LE CLERC, marainne Christine La BASCHELLOTE.

Ont vu également le jour à Baracé, Charlotte HAMELIN, arrière petite-fille du susdit, le 22 novembre 1678 ; Philippe HATIER, le 26 février 1673, ainsi que son fils du même nom, Philippe HATIER, le 20 octobre 1701 ; Perrine ISAMBART, baptisé le 6 mars 1618, future épouse de Pierre ROCHER, et mère de Charlotte ROCHER, baptisée à Baracé le 13 décembre 1654 ; enfin, mon ancêtre Jean LEMOINE, dont je sais peu de choses, est baptisé à Baracé le 16 mars 1640.

Mariages

14 janvier 1642. Pierre ROCHER, veuf de Bernarde MAUBERT, épouse Perrine ISAMBART, fille de Jacques ISAMBART et de Marie JOUAULT. Pierre est marchand, sa signature est imposante.

30 septembre 1664. Jacques HATIER épouse Catherine LAVENIER. Malheureusement leur mariage n’est pas filiatif.

14 avril 1676. Pierre HAMELIN épouse Charlotte ROCHER.

11 janvier 1701. Charlotte HAMELIN épouse Jacques HATIER, deuxième du nom.

24 mai 1712. Gervais MOULIN, originaire de Malleville dans les Charentes, épouse Françoise FARION, fille de Guillaume, meunier et Maître des Moulins de Gouis, près de Durtal.

Sépultures

Six de mes ancêtres reposent dans le cimetière de Baracé :

Au mois de janvier 1692, trois de mes ancêtres disparaissent à quelques jours d’intervalle… Épidémie… ?

  • Jeanne AUBRY, épouse de Pierre HAMELIN, le 10 janvier 1692.
  • Pierre HAMELIN, époux de Jeanne AUBRY, le 13 janvier 1692.
  • Catherine LAVENIER, épouse de Jacques HATIER, le 17 janvier 1692.

Pierre HAMELIN, époux de Charlotte ROCHER, le 7 décembre 1692.

Patronymes principaux

HAMELINHATIERISAMBARTROCHER

Vie de Jacques ISAMBART (~1590-1633)
Ambroise VIDAMOUR était la mère d’Anne ROBINAIS, future épouse de Jean LEMOINE qu’il avait dû épouser « sur le champ » suite à une condamnation mystérieuse…

Histoires insolites à Baracé

Contagion à Baracé, 3 avril 1604.

Louis De BAUGY, fils de messire François De BAUGY écuyer et de dame Marthe CRESPIN, sieur et dame du Bosquet et des Loges, est baptisé en la maison seigneuriale des dites Loges « à cause du danger de contagion qui est encore au bourg et à l’église de Baracé ».

Noyade accidentelle, 27 septembre 1631.

Un paroissien de Seiches, Michel GUERCHER, demeurant aux Moulins de Prigne, noyé accidentellement le 22, est inhumé à Baracé.

Seiches - Moulins de Prigne

Contagion, 1er septembre 1637.

 Un enfant, mort de contagion,  est inhumé. Dans les jours qui suivent, presque toute sa famille meurt, également de contagion.

Dysenterie, 23 septembre 1639.

Perrine GROYER, femme de Charles LEMANCEAU, meurt de dysenterie.

Enfant exposé, 15 août 1649.

Un enfant exposé à Angers  est adopté par Madame la Comtesse de Vertu qui le fait baptiser à Baracé.

Le quinziesme jour d’Aoust l’an mil six cent quarante et neuf a esté baptizé soubz condition Guillaume René, lequel nous a esté presenté par damoiselle Renée DENION laquelle nous a declaré que Madame la Comtesse de Vertu l’avoit trouvé esposé à la porte des Pères Minimes d’Angers, le jour St Pierre dernier et que par charité elle s’estoit chargée dudit enfant et auroit donné ordres qu’il fust baptizé ce que nous avons fit ce jour d’huy et a esté parain Michel LE ROY et maraine la dite damoyselle Renée DENYON et paroist le dit enfant aagé de cinq à six moys.

Baracé par Célestin Port

Baracé, canton de Durtal (10 kil.), arrondissement de baugé (29 kil.) ; – à 50 kil. d’Angers. – Barrachiacus, 1050 circa (Cart. du Ronceray, Rol. 1, ch. 24). – Baraciacus, 1074 (1er Cartul. de Saint-Serge, p. 106). – 1096 (Ib. p. 211 ; 2e Cartul., p. 200). – Baraci, 1100 circa (Cartul. St-Aubin, f. 25 v°). – Baraceium, 1040, 1082-1104, 1159 (1er Cartul. Saint-Serge, p. 16 et 115 ; 2e Cartul., p. 184). – 1066 (Cart. St-Maur). – Barace, 1216 (Chaloché, t. 3, p. 115).

Le village est situé sur le coterau de la rive droite du Loir, dans l’angle formé par la rivière et son affluent, le Rodiveau ; – entre Huillé à l’Est (4 kil.), Daumeray (6 kil.) au Nord, Etriché (7 kil.) à l’Ouest, et Seiches au Sud (7 kil.), de l’autre bord fu Loir.

Le chemin de grande communication de Tiercé à Durtal passe à quelques pas de l’église. Un beau chemin conduit de là directement à un bac du Loir (2 kil.).

En dépendant les hameaux de Doux (25 hab., 1300 mètres), de la Suardière (26 hab., 900 mètres) et les Petites-Landes (17 hab., 900 mètres), les Berthelotières, la Rognardière, la Couteyère, les Landes, Missoudun, Chandoiseau, les Colombellières, la Rongellière, la Huptière, les Maisons, petites agglomérations de deux ou trois maisons, les châteaux des Loges ( à 400 mètres du bourg) et de Vieilleville (1400 mètres), et 32 fermes ou habitations isolées.

Outre le Loir, qui limite intérieurement la commune vers Sud et le Rodiveau qui la traverse du Nord au Sud, y passe le ruisseau des Landes, y naissent ceux de Selaine, du Roquet et de la Bouverie.

Superficie : 1346 hectares dont 3 hectares 37 en vignes, 135 hectares 89 en bois.

Population : En 1720, 134 feux, 437 hab. – En 1821, 663 hab. – En 1831, 761 hab. – En 1836, 784 hab. – En 1841, 716 hab. – En 1851, 654 hab. – En 1856, 681 hab. – En 1861, 705 hab. – En 1866, 723 hab.

Bureau de poste et perception de Durtal.

Assemblées le dernier dimanche de janvier et le premier dimanche de mai.

Des lettres patentes de 1579 avaient accordé à la prière du seigneur deux foires et un marché depuis longtemps tombés en désuétude. – Une foire se tenait pourtant encore au XVIIe siècle le 27 janvier, jour de saint Julien.

Une jolie Mairie avec Ecole de garçons a été construite en 1865. Dans la grande salle une inscription en lettres d’or rappelle que « Cette maison communale a été donnée par Mme la comtesse de Benoit, M. le vicomte et la vicomtesse de Manneville avec le concours de S.E. Mgr le Ministre de l’Instruction publique, de MM. de Baracé, de Villeneuve et de plusieurs souscripteurs. »

Le Cimetière se rencontre tout près vers l’Est sur l’ancien chemin et renferme plusieurs tombes avec épitaphes, celles entre autres du sacristain Yves PION, datée de 1598, d’un fermier de la Motte 1644, du chirurgien Guillaume GAIET, 1751, de Perrine DENAIS 1767 et une croix de pierre avec un Christ entaillé (XVIIe siècle).

L’Eglise, dédiée à saint Aubin (succursale, 5 nivôse an XIII), est un des plus anciens édifices religieux de l’Anjou (X-XIe siècle) malheureusement menacé d’une reconstruction prochaine ( 21 m. 40 sur 6 mèt. 20 de large ; dans le choeur, 6 mèt. 40 sur 4 mèt. 10). Le portail à pignon s’appuie à mi-hauteur aux angles sur des contre-forts carrés à chef évasé. La porte à claveaux réguliers romans est surmontée d’une étroite haie ogivale à trèfle. Dans les murs latéraux, entièrement en petit appareil régulier, apparaissent vers Sud deux assises en arête de poisson, vers Nors, une porte bouchée à plein cintre de claveaux réguliers. Six étroites baies, qui vont s’évasant, nues et sans aucuen façon ornementale, donnent jour à l’intérieur. – Le clocher carré se termine par un petit fronton et sur chaque face est percé de deux fenêtres romanes avec arceaux en retrait ; entre deux, dans le cintre, un losange. Chaque angle des chapelles du transept se flanque d’un contre-fort ; celle de gauche conserve encore la cheminée seigneuriale. – La nef unique est voûtée en cale de navire, rétrécie et abaissée vers le choeur par un arceau roman où s’appuient deux autels – à droite de St-Aubin avec ancienne statue du patron, – à gauche de la Vierge : dans un cadre, une Pieta du XVIIIe siècle : au-dessus, une autre Vierge. A l’entrée de la nef se présentent les fonts, massif en partie de brique et de ciment, formé de deux rectangles inégaux superposés, sur quatre petits piédestaux. – Le transept, surexhaussé de quatre marches, montre une voûte nue dont la retombée porte sur de larges piles carrées sans autre moulure qu’un simple canivet en saillie. – A gauche un arceau très-fort surbaissé ouvre dans une chapelle dont la voûte basse, à huit torses d’ogive en saillie, garde à sa clé centrale un écusson au léopard passant. – A droite, jolie chapelle, refaite et peinte du haut en bas d’enluminures du genre allemand ; à l’entrée, à droite, un buste de St Benoît, à gauche, un buste de St Pierre ; dans la fenêtre assombrie par un vitrail de Thierry d’Angers, 1855, figure St Augustin : sur le mur, en lettres d’or, on lit : « Priez pour le repos de l’âme de Prosper-Désiré comte Benoist, lieutenant-colonel, officier supérieur des gardes du corps du roi Charles X, mort à 64 ans, à Paris, le 19 mars 1858... » – A côté : « Priez pour le repos de l’âme d’Achille-Laurent-Henri vicomte Benoist, lieutenant d’artillerie, mort à 26 ans, au siège de Sébastopol, le 2 avril 1855… » – L’autel est placé sous le clocher. – Une étroite travée, percée à droite d’une fenêtre, compose le choeur, avec abside ronde voûtée en cul de four, à peine éclairée d’étroites baies, le tout de façon grossière et d’apparence antique (X-XIe siècle).

Quoiqu’il n’ait été signalé aucune trace gallo-romaine sur la commune, elle devait être traversée par une ou plusieurs des voies qui sillonnaient le pays et dont une passait le Loir vers Vieilleville. Le bourg est dès le XIe siècle, d’après les chartes, un oppidum, même un castrum, une résidence seigneuriale de quelque importance. L’église y fut bâtie vers la fin sans doute du Xe siècle par Hubert de Champagne, suzerain de la contrée, ditionis sue. Elle est dite déjà dater de temps fort ancien priscis jam temporibus, en 1043 quand elle fut consacrée par l’évêque Hubert de Vendôme, sous le vocable de St-Julien. Un desservant y fut alors établié avec presbytère suffisamment renté. A quelques années de là l’église a changé de patron et porte le titre de St-Aubin. Il en dépend une chapelle importante dédiée à St Germain. Toutes deux sont vendues en 1074 à St-Serge par Albéric de laigné, de Lamniaco, avec tous les revenus de la cure, le tiers du bourg, du four banal et partie de la terre des Landes, don confirmé par le pape en 1159. L’église devint ainsi un prieuré réuni en 1464 à l’office du cellérier de l’abbaye, puis cédé en 1562 au temporel de l’abbé, qui en 1648 le céda à ses moines. Le desservant ou vicaire perpétuel prétendit vers ce temps se rendre indépendant et affirma son droit de curé primitif, dont il fut débouté après sept ans de procès par un arrêt du 31 décembre 1671. Un moine de St-Serge y venait chaque année prêcher le jour de la fête patronale de St Aubin. L’habitation du prieuré comprenait maison, grange, cellier, l’ancienne chapelle de St-Germain, le tout circuit au XVIe siècle de vieilles murailles, et rendait aveu à la baronnie de Saint Germain de Retz, redevance pourtant contestée longtemps par l’abbé qui prétendait relever directement de baugé.

En est curé : Yves BONNET, 1598,1600. Il tenait une école et à chaque sépulture levait un droit pour ses écoliers qui y assistaient. Il s’en trouvait huit en 1584. – Jean CHAUVELIER, 1626-1642. – Michel FOREST, 1643-1652. Il avait été élevé à Fougeré auprès du curé, son oncle. – Jean de LIGNEUL ou de LIGNEUX, mars 1652, inhumé dans l’église le 14 avril 1672. – Pierre SAMOYAU, mai 1672-31 août 1706. Il avait aliéné le petit cimetière et partie du grand, par autorisation épiscopale du 30 septembre 1693. – Le 19 juillet 1696 furent bénies les deux cloches nommées la première Louise, par messire Jean MARQUIS de la MOTTE, seigneur marquis de Senonnes, commandant de la noblesse et des gouvernements d’Anjou et pays Saumurois, et par dame Louise de HAVARD, veuve de messire René-Charles de BAUGY, dame des Loges et de Baracé ; la 2e Anne, par messire Gabriel de France, chevalier de St-Louis, commandant du Château-vieux de Bayonne et par dame Anne SICAULT, femme de Math. HERBEREAU, écuyer, sieur de la Chaise. – P. MARCHANT, 25 octobre 1706, mort âgé de 50 ans le 31 juin 1717. – E. BELLANGER, 27 septembre 1717 – 17 avril 1719. Il signe encore quelques jours mais avec le titre de curé de Rocheménier. Dès sa première année, il fit refondre les deux cloches, bénies le 14 juin 1718 par Legouvello, official de l’évêque, et nommées la 1ere Marie, par messire Jean Marquis de la Motte et Marie-Chrisante de HAVARD, veuve de Jacques de France, la 2e Louise, par messire Math. HERBEREAU de la Chaise et dame Louise de HAVARD, veuve de René de BAUGY. – A. BELLIARD, 27 avril 1719 – 1740, mort le 14 juillet 1744 âgé de 62 ans. En 1736 le clocher fut restauré et refait en partie de planches par Jean QUINCÉ, charpentier à Marcé. – J. COURBALLAY, janvier 1741, mort le 16 juillet 1753 âgé de 52 ans. – Le CORNUÉ, août 1753 – janvier 1779. – Henri MARCHAND, 14 février 1779. – Il était alors vicaire de Saint-Pierre d’Angers et âgé de 27 ans. Il signe curé jusqu’au 25 octobre 1792, et dès l’acte suivant le 13 novembre : notable et officier public, ailleurs curé et officier public ou simplement officier public. Il fut néanmoins déporté à l’île de Rhé et n’en sortit qu’en l’an VII par la recommandation de Talot.

On a gardé souvenir dans les registres d’une peste qui ravagea la paroisse en 1603 et durait encore en avril 1604, et de l’ouragan du 14 mars 1751 qui de 2 à 5 heures du matin arracha presque la moitié des arbres et n’épargna à peu près aucune maison du pays. Les habitants crurent voir la fin du monde. – Dès avant 1730 il y existait un maître d’école laÏc qui avait nom Etienne POTRIE.

La seigneurie relevait de Lézigné et appartint depuis le XIe siècle à une famille de chevalerie qui fournit en 1283 un abbé à Mélinais. – En est seigneur à la fin du XIIIe siècle, LE PRÉVOST qui donne la terre à sa fille Jacqueline en la mariant à Thomas de la Motte en 1301. – Mathurin de Pincé en 1495, 1510. – Des lettres royaux ordonnèrent en 1557, au profit de François de Scépeaux, l’union et l’incorporation des terres et seigneuries de Lézigné, Barécé, Saint-Léonard, Pregnez et du port de Vielleville. Il y avait une opposition que des lettres de 1559 déboutèrent en la flétrissant. – René CRESPIN, conseiller au Parlement de Bretagne, en 1563. – François de BAUGY, sieur du Bosquet, des Loges et de Baracé par son mariage avec Barbe CRESPIN, 1593, fut inhumé le 11 janvier 1638 dans l’église, près la chapelle des Loges. – La terre appartint en 1780, 1790, à Armand-Victor DESTRICHÉ, sieur des Loges. Elle avait droit de moyenne et basse justice seulement et mesure à blé et à vin au marc de Lézigné.

La paroisse dépendait de l’Election et du Grenier à sel de La Flèche, du District de La Flèche en 1788, d’Angers en 1790.

Maires : Louis DAILLIERE, 1er messidor an VIII, remplacé en novembre 1806, maintenu en février puis révoqué par arrêté du 7 avril 1807. Le 25 mars une bande de dix brigands armés avait traversé impunément la commune, pillé les habitants, passé la journée du lendemain à Tiercé et Montreuil et s’était retirée par Baracé sans rencontrer opposition ni résistance. – Armand-Victor DESTRICHÉ de Baracé, 2 juillet 1808, jusqu’à son décès. Jacques ALLARD, 30 juillet 1813, démissionnaire le 15 novembre 1815. – Victor DESTRICHÉ de Baracé, 7 décembre 1815. – Jean DAILLIERE, 17 décembre 1815. – Mathurin HAMÉ, 5 mars 1816. – André-Eloi GOUFFIER, 25 mai 1821, démissionnaire le 26 juin de la même année, maintenu jusqu’en 1839. – Jean TURQUAIS, 1839-1849. – Prosper-Désiré, comte BENOIST, 1849, jusqu’à son décès. – René MÉNIER, 16 juillet 1858 – 1870. – Vicomte de MANNEVILLE, 1870, réélu en mai 1871.

Transcriptions BMS

Les registres de Baracé sont très anciens et commencent en 1568. Je n’en ai fait aucune transcription pour le moment…

Quelques lieux-dits

La Rognaldière. Les Rognardières. La Rongnardière. Ferme. Y demeure Jacquine ROCHER en 1669.

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