Cette fois c’est la lettre G qui me conduit tout droit dans un drôle de guêpier – ou dans un gouffre, c’est au choix ! Quoi qu’il en soit, de curieux ancêtres ont étrangement été rattachés à Pierre GOURDON et Perrine CHARUAU.

(Quand je dis « on », c’est par lâcheté, parce que bien-sûr, c’est moi qui les ai rattachés… aussi devrais-je écrire « J’ai rattaché curieusement »… Bon, c’était il y a longtemps… je me pardonne…comme je pardonne à ceux qui recopient certaines erreurs sur Geneanet ou autre… mais cela ne m’empêche pas de vouloir les corriger !)

Pierre GOURDON et Perrine CHARUAU se sont mariés à Andrezé, le 1er mars 1683. Voici ce que m’apprend leur acte de mariage. En bleu la parenté du marié, en rose, celle de la mariée.

Le premier mars mil six cent quatre vingt trois Pierre GOURDON fils de Michel GOURDON et de deffuncte Françoise MORINIERE demeurant au Cerisier de cette paroisse d’une part et Perrine CHARUAU fille de défunt René CHARUAU et de défunte Renée GOURDON demeurant à La Jubaudière ont contracté mariage et receu la bénédiction nuptiale de nous prestre soubsigné en présence de Mathurin et Martin les GOURDONs frères dudict marié, Michel DE LA HAYE oncle de la mariée et Nicolas CHARUAU frère de ladicte mariée demeurant à La Jaillière parroisse de la Jubaudière, lesquels ne signent.

Et voici les ancêtres « curieux », venus de nulle part, rattachés à Pierre GOURDON.

En donnant 30 ans à chaque génération, Jacques GOISLOT appartiendrait à ma quinzième génération et serait né vers 1540. Sa fille, Françoise GOISLOT, serait quant à elle, née vers 1570 ; elle aurait épousé Antoine MORINIERE, qui serait né, lui, en 1590… Et tout cela sans aucune preuve… Il faut donc me résoudre à faire une coupe franche !

Grâce à ce G, j’ai donc pu gommer quelques erreurs. Voici une partie de mon arbre galvanisé !

Merci le G !